La vie est un agrume

J, elle est partis pour Berlin le 7 Septembre. Ayant vu ce message sur
Facebook, j'ai appelé quelques jours avant, en fait une semaine avant pour
essayer de la voir. Elle m'a sortit qu'elle ne voyait personne, que ses amis
ne savent pas non plus qu'elle est sur Plaisir. La connaissant, je sentais
que quelque chose n'allait pas bien. Je lui ai alors demandé, elle a bien
sur répondu en esquivant, puis je lui assuré qu'elle pouvait m'appeler si sa
n'allait pas. Finalement pour samedi, elle organise un "pot de départ" mais
j'ai tenté de l'appelé pour la capter avant. Aller à un pot de départ sur
Paris alors que l'on vit sur Saint - Quentin en Yvelines c'est ridicule.
Comme l'expliquait Davy avec ironie, je vais devoir partir à 23 heures alors
que les gens commencent à devenir chaud, prendre le train et speeder pour ne
pas le rater, ensuite prendre le bus, le métro, le tramway et rentrer à
pied. Bien entendu il abuse en disant ça mais c'est vrai que c'est naze. Et
comme je me disais qu'il serait bon de ne plus tourner autour du pot c'était
mieux de se voir à Plaisir, genre dans le chateau comme il y 4 ans, à notre
premier rendez vous.

Finalement pas pu l'avoir au téléphone, rien compris, un coup sa sonne mille
ans dans le vide sans que je tombe sur la messagerie vocale ou d'autre fois
je tombe directos sur un message m'invitant à rappeller plus tard. Vraiment
pas compris..
Ne pouvant l''avoir au téléphone, j'ai poussé le culot plus loin en allant
directement à Plaisir (la ville où habite sa mère) . Le plan était d'appeler
tout en pariant qu'elle serait chez elle puis de m'inscruster, elle sonné à
la porte de chez elle. Finalement, pas pu la joindre, désemparé parce que je
transpirais sous la cuisante chaleure et parceque ça me faisait tout de même
40 minutes de trajets, je suis partis voir un copain mais malheureusement ce
dernier n'était pas chez lui. Misère, je me sentis seule alors j'ai tenter
d'inhiber mon chagrin en demande du réconfort à d'autre personne. Personne
ne répondait au téléphone, je fut le mec complètement seul au monde, avec
son chagrin comme fardeau.

La veille de son pot de départ, j'ai tenter de la joindre, mais en vain, et
finalement le jour même j'hésitais a y aller même si je ne savais pas à
qu'elle heure c'était. Mais j'hésitais et j'ai bien fait de ne pas y aller
parceque je vois un message FB "passe sa soirée comme une merde toute
seule". Je lui ai commenté "en même temps si tu étais joignable sur ton tel"
apres qu'un gars lui ai dis 'j'arrive bisous". Ah putain, j'étais prêt a la
rejoindre a 22 heures en vélo , j'y serai meme aller en vélo si il le
fallait mais par contre ce con là je ne sais pas ce qu'il la fait, je n'ai
pas eu de nouvelles, elle n'a pas répondu au message que je lui ai envoyé.
Je suis trop déçu et dégouté, elle se joue de moi, n'en a plus rien à
faire.
Qu'est ce que j'aimerai pleurer...

désespoir, nom masculinSens 1
Abattement<http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/abattement/> />, perte <http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/perte/> />d<http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/d/> />'espérance<http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/esperance/> />. Synonyme affliction<http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/affliction/> /> Anglais despairSens 2
Détresse<http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/detresse/> />, profond <http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/profond/> />accablement<http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/accablement/> />. Synonyme accablement<http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/accablement/> /> Anglais despair


Après m'en être moquer pendant 2 semaines, il m'arrive maintenant une crise,
qu'est ce qu'elle me manque, qu'est ce que je l'aime, qu'est ce que
j'aimerai lui dire franco toutes ce que j'attend d'elle, ce que j'espérais,
je songe même a parler à Anja, sa meilleure amie.

Je suis vraiment desespéré.

Selon linternaute l'anniversaire c'est :

Jour qui ramène le souvenir d'un événement arrivé à pareille date, notammentla naissance d'un individu

 

Tout anniversaire d'une personne est normalement un jour joyeux, festif. Cette année ça ne l'est pas. J'ai fait la bétise de rester chez moi sur Paris alors je suis resté tout seul comme un con a recevoir des e-mail, sms et coup de fils de personne me souhaitant bon anniversaire. En fait, en me réveillant j' ai oublié que c'était aujourd'hui, c'est le coup de fil de ma mère qui me la rappellé.

DOnc toute la journée j'ai répondu, fais mes statistiques qui sont d'ailleurs bonnes puisque 49 personnes me l'ont souhaité.  Par contre, J. ne me l'a pas souhaité et pourtant elle a dû bien voir les messages qui m'étaient laissé sur le mur.Je lui ai parlé tout à l' heure et elle était rudement sèche envers moi. Elle continue à ne pas me demander comment je vais en début de conversation, ne répond pas à mes messages sur le mur Facebook. H avait raison, je m'en doutais depuis le début, bien avant qu'il me dise qu'elle était gentille parcequ'elle était triste d'être loin de chez elle et de sa famille.

 

Je ne sais pas quoi faire . Je ne parviens a voir l'horizon, la solitude, ma ramène a mon chagrin. Ce n'était pas le but de mes projets de cette année. La loose, je me dis que c'était mieux lorsque je travaillais a carrefour.

"sick sad world"  xD

 

Il est bien sympa mon père, il m'appelle, malheureusement j'étais au travail, du coup je le rappelle plus tard comme demandé, et là il me demande de lui prêter de l'argent.Ce n'est pas la première fois d'ailleurs, la dernière c'était au mois de juin , il devait me rembourser fin Aout et finalement ne la fait que en Décembre 2009.Cet aprèm j'ai cru entendre 150 €uros mais c'est plutôt 650 €uros qu'il fallait comprendre. Ahaha, la bonne blague , genre je vais lui donner l'équivalent de mon loyer (qui vient d'être prélevé) qui représente 76% de mon salaire. Ahaha. la bonne blague, du coup avant mon refus il me disait qu'il viendrait passer me voir chez moi à Paris,mais après le refus, c'est tout un autre discours, finalement il ne passera pas.

Je suis même laisser tomber par mon père. Je pense bien que la semaine loose de la semaine dernière déteint sur celle là.

Après lui avoir parler lundi soir, je ne ressentais plus rien. Au réveil je n'étais ni triste, ni énervé, juste une tension peu perceptible au fond de moi. Lorsque je repensais à elle je n'avais qu'une petite crainte, c'est qu'elle me douille en partant . D'ailleurs c'était drole je me fichais de tout, des insultes, des rejets, d'aller manger avec les autres. J'hésitais toujours , je trouvais étrange de ma part de ne pas vouloir manger avec le groupe alors que je veux toujours manger avec les gens, toujours être accompagné. J'ai aussi vanné DOunizad alors que d'hab j'ose pas lui répondre, c'était marrant, Davy (mon chef) a bien apprécier.

Ben la petit a petit depuis aujourd'hui je me remet a avoir des sentiments, c'est à dire que lorsque j'ai vu des photos de Jessica ça m'a refait un choque, une tension qui s'installe une tristesse que l'on surmonte vite. Pis j'ai regarder l'album, la video et la bim, une folie, un surplus de stress.

 

C'est marrant le cerveau. J'aimerai bien analyser ça et connaitre ce qui fait que sa modifie l'esprit autant.

Hier soir un pote est venu me rendre visite. Il est venu de Elancourt sur Paris car il part le lendemain pour un voyage de fin d'année - nouvelle année en Scandinavie et Europe de l'Est. Nous étions en train de discuter, lorsque j'ai vu qu'elle s'est connectée sur Facebook. Mon sang n'a fait qu'un tour ! Le stress s'est installé comme si il ne m'avais jamais quitté. J'ai dégagé Eric de l'ordinateur tant bien que mal, ce mec là à trop du mal à quitter une ordinateur. Je commence à lui parler, il remarque à qui je parle et s'excuse silencieusement de m'avoir autant languir, il voit bien à quel point je suis devenu sérieu, il s'en va et m'assure qu'il comprend que je ne le raccompagne pas jusqu'au métro avec tous ses bagages. Je discute avec elle, elle est super longue, se déconnecte et reconnecte souvent. Je me rappelle qu'a l'époque son wifi déconnais autant, les jours de pluie me semble t-il. J'attend impatiemment, la tension est énorme, je cris, je met de la trance, c'est pire, je saute partout, me prend la tête, me crispe. Affreux, j'ai crû que j'allais vomir. Elle me répond et finalement tout s'enchaine avec difficulté vu ses problèmes de connexion. Elle me répond "quoi de neuf" ,je lui dis que j'ai emménagé sur Paris XII ème , lui donne ma ligne et elle aussi. On est sur la même ligne, elle sur Sèvre - Lecourbe, j'ai déjà dû passer par là pour aller chez Blandine. J'insiste pour que l'on se voit, elle rigole, je lui explique que j'ai des questions à lui poser, me répond de lui poser maintenant mais je lui dis que ma connexion déconne et que ce n'est pas pratique, elle insiste puis finalement me dit qu'elle n'aura pas le temps vu qu'elle prépare le lendemain ses cartons pour l'Allemagne. J'insiste encore, en fait j'ai appellé Jérémi pour lui demander comment me sortir de cette galère, il faut que je noie le poisson, elle m'apostrophe en demandant si je ne me suis pas torturé l'esprit pendant deux ans ! OUaaaaaaille, amaille, c'est tendu quoi répondre à ça, elle a raison mais de la manière dont elle le dit, c'est complètement absurde, débile et surtout je ne dois pas acquiescer sinon ça montre que je suis encore amoureux d'elle et ça va la faire fuir, je dois présenter les choses d'une autre manière. Donc j'appelle Jérémy , il me sort une phrase magnifique, je la retape tant bien que mal et ça passe, je lui dit que j'aimerai qu'on me fasse visiter Paris et qu'elle doit être un fan des nuits Parisiennes. Elle refuse car c'est trop tard, j'insiste et finalement me dit qu'elle veut connaitre mes questions, qu'elle essaiera surement de se libérer. C'est assez étrange, elle a changer sa veste assez rapidement. En tout cas, je compte bien la relancer car elle n'a même pas pris en compte mes horaires de fin de travail . Maintenant, je ne ressent ps grand chose hormis une peur, une crainte. Je me dis que je vais devoir assurer un max, être beau, présentable etc mais celà sert il? Je veux juste pouvoir mettre fin à cette relation et qu'elle me réponde à ces questions Pourquoi cette distance après mon anniversaire ? Pourquoi ces sautes d'humeur? Un coup tu me dis 3x fois au tel que tu es contentes que l'on se voit puis les autres fois tu m'ignores. Lui expliquer comment sa m'a bloqué. Et puis pourquoi un calin/étreinte comme la derniere fois où l'on s'est vu

Hier soir un pote est venu me rendre visite. Il est venu de Elancourt sur Paris car il part le lendemain pour un voyage de fin d'année - nouvelle année en Scandinavie et Europe de l'Est. Nous étions en train de discuter,  lorsque j'ai vu qu'elle s'est connectée sur Facebook. Mon sang n'a fait qu'un tour ! Le stress s'est installé comme si il ne m'avais jamais quitté. J'ai dégagé Eric de l'ordinateur tant bien que mal, ce mec là à trop du mal à quitter une ordinateur.

Je commence à lui parler, il remarque à qui je parle et s'excuse silencieusement de m'avoir autant languir, il voit bien à quel point je suis devenu sérieu, il s'en va et m'assure qu'il comprend que je ne le raccompagne pas jusqu'au métro avec tous ses bagages. Je discute avec elle, elle est super longue, se déconnecte et reconnecte souvent. Je me rappelle qu'a l'époque son wifi déconnais autant, les jours de pluie me semble t-il. J'attend impatiemment, la tension est énorme, je cris, je met de la trance, c'est pire, je saute partout, me prend la tête, me crispe. Affreux, j'ai crû que j'allais vomir.

 

Elle me répond et finalement tout s'enchaine avec difficulté  vu ses problèmes de connexion. Elle me répond "quoi de neuf" ,je lui dis que j'ai emménagé sur Paris XII ème , lui donne ma ligne et elle aussi. On est sur la même ligne, elle sur Sèvre - Lecourbe, j'ai déjà dû passer par là pour aller chez Blandine.  J'insiste pour que l'on se voit, elle rigole, je lui explique que j'ai des questions à lui poser, me répond de lui poser maintenant mais je lui dis que ma connexion déconne et que ce n'est pas pratique, elle insiste puis finalement me dit qu'elle n'aura pas le temps vu qu'elle prépare le lendemain ses cartons pour l'Allemagne. J'insiste encore, en fait j'ai appellé Jérémi pour lui demander comment me sortir de cette galère, il faut que je noie le poisson, elle m'apostrophe en demandant si je ne me suis pas torturé l'esprit pendant deux ans ! OUaaaaaaille, amaille, c'est tendu quoi répondre à ça, elle a raison mais de la manière dont elle le dit, c'est complètement absurde, débile et surtout je ne dois pas acquiescer sinon ça montre que je suis encore amoureux d'elle et ça va la faire fuir, je dois présenter les choses d'une autre manière. Donc j'appelle Jérémy , il me sort une phrase magnifique, je la retape tant bien que mal et ça passe, je lui dit que j'aimerai qu'on me fasse visiter Paris et qu'elle doit être un fan des nuits Parisiennes. Elle refuse car c'est trop tard, j'insiste et finalement me dit qu'elle veut connaitre mes questions, qu'elle essaiera surement de se libérer. C'est assez étrange, elle a changer sa veste assez rapidement.

 

En tout cas, je compte bien la relancer car elle n'a même pas pris en compte mes horaires de fin de travail . Maintenant, je ne ressent ps grand chose hormis une peur, une crainte. Je me dis que je vais devoir assurer un max, être beau, présentable etc mais celà sert il? Je veux juste pouvoir mettre fin à cette relation  et qu'elle me réponde à ces questions 

 

• Pourquoi cette distance après mon anniversaire ?
• Pourquoi ces sautes d'humeur? Un coup tu me dis 3x fois au tel que tu es contentes que l'on se voit puis les autres fois tu m'ignores.
• Lui expliquer comment sa m'a bloqué. Et puis pourquoi un calin/étreinte comme la derniere fois où l'on s'est vu?

 

 

je suis bourré, j'ai tenté de lui parler mais elle n'a pas répondu puis les autres fois c'était des connexion furtives. je suis triste, l'ivresse descend. Je me ré écoute du kate nash, magnifique morceau de violon. Ca me rappelle ma deuxieme année de deuxieme année de BTS .

Parcequ'elle part prochainement pour l'Allemagne je me suis décidé à lui parler. Ca commence mal, je suis tombe tout le temps sur son répondeur. Alors le 25 vers minuit alors que nous étions Facebook, je lui parlé par le tchat. Elle a été longue a répondre, mais assez courtoise. Je lui ai demandé si on pouvait ce voir avant qu'elle parte et elle m'a clairement que ça ne lui disais rien du tout. Ce fut un gros choc.  Une franchise de dingue tout en étant douce, gentil enfin c'est le sentiment que j'ai même si finalement c'était assez directif.

Je trouve ça dingue d'arriver a un tel stade, une personne qui était là pour vous, à chaque moment, chaque diffuculté, avec qui on utilisais tout son forfait même lorsque 'il venait d'arriver, tout neuf, tout frais, ce dernier finissait la journée tout usé, tout chaud, tout diminué. Et ben elle me tolère juste dans ses amis facebook, rien de plus, même pas une réponse de SMS, ni même d'un appel, uniquement le droit de voir son profil facebook.

 

Je suis choqué, c'est complètement inattendu, je pensais qu'elle me traiterait(insulté) ou qu'elle acceptait de parler , RIEN de tout ça . ALors dans un dernier espoir de m'en sortir plus que de vouloir arranger les choses avec elle, je vais attendre qu'elle se connecte sur facebook, ce qu'elle fait généralement tard le soir après minuit et je vais insister , lui expliquer que je l'aime fort, que j'ai besoin d'elle , et que a défaut d'avoir une  relation normale avec elle, je me contenterai d'avoir une explication de sa  part et moi de pouvoir exprime ce qu'elle représente pour moi, que j'attendais, avoir des explications sur des passages obscures comme juste après ma fête d'anniversaire ou elle ne donnais plus de signe de vie.

 

C'est un coup énorme à l'estime de soit même. Je me suis fâché de nombreuse fois avec des gens, pour des broutilles, ça été très intense mais à chaque foi je me suis réconcilié avec les personnes. La j'en susi a un state ou elle s'en bat completement de moi mais en même temps lorsque je l'ai appellé en 2008 juste pour prendre le contact, je me souviens qu'elle à dit "trois fois qu'elle était content que j'appelle". C'est ouf, de maintenant voir qu'elle s'en bat. J'ai meme penser a prendre contact avec sa meilleur amis ANja pour qu'elle intervienne auprès d'elle, ou qu'elle explique ce que je n'ai pas compris dans cette histoire mais je sais que le jour de l'apocalypse elle m'a jetée, lassée de nos histoire ala con. :/

 

Ce que j'ai ressentit en lui parlant: 

Un stress immense mas une envie folle de lui parler. J'avais le coeur qui battais super fort, un tension dans tout le corps, une envie de vomir. C'était puissant, fort et tellement bon.

C'est en lisant le blog d'une jeune fille fan de culture japonaise mais aussi ayant des dons de voyance :O que j'ai pris connaissance de la personnalité de "Dépendance affective" c'est à dire des personnes qui vivent à travers les autres, ou qui ne peuvent pas faire des choses sans le consentement ou l'aide de d'autre individus.

voici l'article :

 

La dépendance affective

Il n’y a pas définition de « dépendance affective » dans le DSM-IV. Ce n’est pas un trouble obsessionnel-compulsif (TOC) comme les autres dépendances mais on est concerné par des critères diagnostiques communs. Il faut plutôt regarder du côté de la « personnalité dépendante ». On la décrit comme « un besoin général et excessif d’être pris en charge qui conduit à un comportement soumis et « collant » et à une « peur de la séparation » qui apparaît au début de l’âge adulte et est présent dans des contextes divers. Comme en témoignent au moins 5 des manifestations suivantes, cela signifie que si l’on possède au moins 5 critères diagnostiques on peut se considérer comme ayant une personnalité dépendante. Il est à noter que l’on peut être un dépendant affectif en dehors d’une relation de couple uniquement. On peut l’être à propos d’un ami, d’un parent, etc. Il y a lieu de considérer les critères suivants en ayant en tête l’affectivité, ou en tout cas la voir dans cette perspective.

Critères diagnostiques :

   1. Le sujet a du mal à prendre des décisions dans la vie courante sans être rassuré ou conseillé de manière excessive par autrui ( Ex. : le conjoint, les parents, etc.);
   2. il a besoin que d’autres assument ses responsabilités dans la plupart des domaines importants de sa vie (Ex. : émotionnel, social, financier);
   3. il a du mal à exprimer un désaccord avec autrui de peur de perdre son soutien ou son approbation. NB. Ne pas tenir compte d’une crainte réaliste de sanctions. Dans ce critère diagnostique on risque de retrouver ce que j’appelle la personnalité caméléon. C’est une personne qui ne dit jamais un mot plus haut que l’autre. Elle pense et dit ce que les autres pensent et disent. Souvent elle renie sa propre opinion, son propre sentiment. Elle ne s’oppose jamais. C’est comme si elle fondait dans le décor. Comme le caméléon;
   4. il a du mal à initier des projets ou à faire des choses seul (par manque de confiance en son propre jugement ou en ses propres capacités plutôt que par manque de motivation ou d’énergie). (Ex. : quand on demande à la personne ce qu’elle a le goût de faire ou de manger et elle répond : « et toi? ». Il est très difficile pour la personne de choisir;
   5. il cherche à outrance à obtenir le soutien et l’appui d’autrui, au point de se porter volontaire pour faire des choses désagréables. (Ex. : c’est le pire critère diagnostique car c’est ici que la personne accepte l’inacceptable, se renie en quelque sorte. Tout faire, même si c’est contraire à nos valeurs profondes, pour se faire aimer ou pour éviter de se faire rejeter et avoir à se confronter à la solitude;
   6. il se sent mal à l’aise ou impuissant quand il est seul par crainte exagérée d’être incapable de se débrouiller.
   7. lorsqu’une relation proche se termine, il cherche de manière urgente une autre relation qui puisse assurer les soins et le soutien dont il a besoin;
   8. il est préoccupé de manière irréaliste par la crainte d’être obligé de se débrouiller seul.

L’utilisation du courrier électronique et les groupes de discussions (chatlines) peuvent être, par exemple, symptomatiques d'une dépendance affective en ce sens qu'on peut éprouver des symptômes dépressifs, éprouver de la tristesse ou de l'abandon en ne recevant pas les lettres d'amour virtuelles tant attendues, être déçu par le trop peu de courrier électronique reçu ou revenir constamment vérifier s'il n'y a pas de courrier électronique qui nous attend; le malaise, la frustration d'avoir manqué un rendez-vous icq, etc.

Peut-on vraiment qualifier une dépendance de plus importante qu’une autre ? À mon sens non. Avez-vous seulement idée à quel point la dépendance affective peut faire des ravages ? Et cette « maladie » arrive tout autant chez les hommes que chez les femmes. Il est fréquent de rencontrer des dépendants affectifs chez le conjoint de l’alcoolique et/ou du toxicomane. Le dépendant affectif reste accroché à son conjoint pour diverses raisons : parce que la sexualité est satisfaisante (c’est souvent ce qui fonctionne le mieux dans la relation) et que l’on a le sentiment de ne pouvoir s’en passer, l’insécurité financière joue aussi un rôle important quand on pense laisser son conjoint. Enfin, l’idée de la solitude est souvent terrifiante.

La dépendance affective peut découler d’un ensemble de facteurs dont le principal est l’environnement familial déficient, nommément la famille dysfonctionnelle, environnement dans lequel l’individu a pu être carencé au niveau affectif. Un des deux parents (ou les 2) a été souvent élevé lui-même, dans le cadre d’une famille dysfonctionnelle. Ensuite, le modèle se reproduit d’une génération à l’autre. C’est le même phénomène qu’un enfant qui voit son père battre sa mère et qui reproduit, avec sa conjointe, quand il est adulte, le même pattern que son père. Normalement, l’enfant doit avoir, dès son bas âge, des relations significatives avec ses parents, être guidé, encadré, discipliné, recevoir l’affection et un soutien ferme et confiant pour ses accomplissements afin de façonner son identité, obtenir une confiance en lui et une estime de lui-même qui lui donne de la valeur.

Le dépendant affectif a pu recevoir, dans son enfance, par exemple, des messages verbaux négatifs, se faisant dire qu’il valait peu ou rien, qu’il était inadéquat quand il faisait des choses, qu’il n’irait pas bien loin dans la vie, ainsi que des messages non-verbaux négatifs comme, par exemple, la surprotection de la mère, la tyrannie d’un père violent et dictateur, la non-présence d’un père (absent de la maison), l’indifférence et la non-reconnaissance des parents vis-à-vis des réalisations de l’enfant, etc. Le dépendant affectif, dans ces circonstances, a écopé d’un manque d’autonomie, a souvent été abandonné, a subi l’alcoolisme ou la toxicomanie (demandez à un alcoolique si son père ou sa mère l’était, dans 75% des cas, il répondra oui).

D’ailleurs combien de femmes, par exemple, ont pensé aller chercher l’amour et l’affection dans la sexualité avec un homme alors que, bien souvent, c’était l’amour de leur père qu’elles recherchaient ? L’enfant, n’ayant pas reçu cette sécurité affective étant jeune, il est fréquent qu’il veuille rechercher l’approbation et la revalorisation lorsqu’il devient adulte, afin d’établir des bases solides pour une estime de soi valable. N’ayant pas connu des relations interpersonnelles enrichissantes, mais surtout significatives, dans la période de l’enfance, l’individu cherche à connaître un(e) conjoint(e), un ami, qui saura l’admirer et lui révéler ses qualités et ses ressources personnelles cachées. Enfin, s’il ne réussit pas à se réaliser, l’individu pourrait compenser afin d’éviter d’entrer en contact avec sa souffrance. Il pourrait sombrer dans d’autres dépendances (ce qui est souvent le cas) telles l’alcoolisme, la toxicomanie, la dépendance au travail, etc.

Le dépendant affectif se réalise à travers l’autre. Mais il y a un autre aspect à la dépendance affective et c’est celle de se sentir responsable du bonheur de l’autre. Combien de fois, dans mon cabinet de psychologue, n’ai-je pas entendu plus d’une femme d’alcoolique ou de toxicomane me dire ou le vivre inconsciemment : « je vais tellement aimer mon mari, qu’il va arrêter de consommer à cause de moi, qu’il va changer son comportement ». Ces deux aspects de la dépendance affective ont pour but de chercher et retrouver une source de valorisation personnelle (ne serait-il pas extraordinaire de « sauver » l’autre ?), de justifier sa raison d’être à travers l’autre et donc d’atteindre le bien-être. Mais attention chez le dépendant affectif, tout cet exercice, tout ce déploiement d’énergie sont en place afin, souvent, de combler un vide intérieur. Il dépend donc de beaucoup de monde : amis, parents, conjoint et dévie de ses propres besoins à combler. Il abandonne ses intérêts personnels pour se centrer sur quelqu’un qu’il considère comme plus important que lui. Il va se plier au moindre désir de l’autre. Cela peut même aller jusqu’à devenir victime de manipulation et accepter l’inacceptable. Jusqu’où cette réalité du dépendant affectif peut-elle mener ?

La dépendance affective n’est pas moins pire qu’une autre dépendance, car elle porte son lot de souffrances. Parlez-en aux dépendants affectifs eux-mêmes. La dépendance affective, c'est, en bref, compter sur une autre personne pour se développer (affectivement, socialement, personnellement). N'exister que par l'autre. Compter sur l'autre pour son propre bonheur... À ce compte, je la compare à toutes les autres dépendances. La "substance" consommée est humaine, sexuelle, affective.

Dans ce contexte, l'amour peut-il devenir une drogue ?

La thérapeutique: être d'abord heureux pour soi, combler ses propres besoins et ainsi le couple finira par en bénéficier. Installer un genre de détachement émotif, c'est-à-dire vous approprier vos propres émotions, les assumer, se changer de l'intérieur; ensuite, la transformation de votre personne deviendra un objet d’attrait pour les autres autour de vous. Ne déviez jamais de l'idée de combler vos propres besoins, d'avoir vos propres activités et de ne pas déroger à faire ce que vous devez faire, pour vous.M-IV.

Je pense être une personne ayant ce trait psychologique là. :(

Une envie d'explosion, une intensité

Je suis comme MAdemoiselle K , je suis grave ! Je me connectais ce matin à mon facebook et je vois sur la page principale que J à posté des photos de ces vacances. A pein vu son visage que mon coeur s'est mis à se contracter et à battre fort. J'en ai été tout chamboulé, j'ai dû m'occuper d'autre chose pour laisser passer cette sensation. Ce n'est pas qu'elle soit insoutenable mais je ne comprend pas pourquoi je ressent d'aussi forte émotion envers elle.
Je me suis résigné à ce qu'on ne puisse plus avoir de contact ensemble. Emilie me l'avait expliqué : " Les filles doivent joué de moi" car je suis "trop gentille". On en revient encore au syndrome du chic type, bref passons ça. Donc je me suis dis qu'elle avait un soucis avec les garçons et que finalement elle m'a trouvé moi, le mec super sympas, top gentil qui lui a redonné confiance.  Elle m'avait elle même dit " tu n'es pas un salaud" que j'étais trop gentil.

J'ai regardé ces photos quelques heures plus tard, j'ai eu une sensation forte, violente (dans le sens de puissante) c'était très énergique, tellement que je me suis mis a tappé un meuble avec une bouteille plastique vide. Je l'envie cette fille, j'ai envie d'elle, mais je ne dirais pas qu'elle me manque.

Qu'est ce que je peux être bizard !